Nos rencontres
Rencontres
L'association propose à ses membres de marcher, dialoguer et comprendre. Soit d'être actifs avec leurs jambes, leur cœur et leur tête, Comprendre, c'est faire l'effort de quitter nos certitudes par l'information, la réflexion et pour certains la recherche ou l'ouverture à la nouveauté. Marcher et dialoguer ouvrent à la compréhension. Mais il faut aller au delà et approfondir, rencontrer des spécialistes, des chercheurs, travailler aussi personnellement. Les rencontres organisées par l'association répondent à cet objectif de mobiliser les " têtes " et pas seulement les cœurs et les jambes.
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HASURE, à travers le GIRLE (Groupe Inter Religions et Laïcité d'Empalot)
vous invite à
la 7ième fête de la fraternité d'Empalot
le mercredi 13 novembre 2024
à la Brique Rouge (9 rue Maria MOMBIOLA 31400 Toulouse)
Tout au long de la journée, un programme très riche avec en conclusion la Conférence-Echange de Pierre Estournel. Cette année cette fête est organisée en partenariat avec "Compostelle-Cordoue". Voici le programme détaillé
L'affiche de l’événement est réalisée par des enfants.
Cette fête ouverte à tous publics et gratuite.
Nous invitons les croyants et non-croyants à venir fêter la valeur républicaine de la fraternité autour de l'idéal du vivre-ensemble dans un cadre laïque et citoyen.
Cette fête vise à lutter contre les préjugés et le repli sur soi tout en contribuant à mieux nous connaître dans nos différences pour faire société ensemble.
Au plaisir de vous compter parmi nous.
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Nos Printanières 2025
se tiendront
du vendredi 11 au dimanche 13 avril 2025
à la maison franciscaine de La Clarté-Dieu
95 rue de Paris 91400 Orsay,
où nous avions déjà tenu de belles printanières en 2022.
Réservez ces dates
Les inscriptions sont ouvertes du 1er janvier au 31 janvier 2025
Toutes les modalités d'inscription et d'adhésion se trouvent ici dans le formulaire : Adhésion et Inscription printanières 2025
Le thème retenu par votre Conseil d’administration est « l’Espérance », vaste domaine où chacun peut dès maintenant réfléchir à des contributions…
Les contributions sont à envoyer à
Voici le programme détaillé.
Au plaisir de vous retrouver !
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Après la marche, le message de Jean-René Brunetière, président de l'association
- Rencontres
Les printanières à l’ Arche de Saint-Antoine
34, La Basse Cour - 38160 Saint Antoine l’Abbaye
Ça y est, nous avons un programme (alléchant…) pour nos printanières, autour de l’Hospitalité ! Du 26 au 28 avril 2024
Merci à Sylvie et Patrick Vincienne et Stéphane Garros de nous l’avoir concocté.
Vendredi 26 avril :
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12h - 14h : Navettes Gare ST Marcellin- l'Arche
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14h: Accueil des participants, attribution et installation dans les chambres.
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15h-16h30h : Présentation historique de l’Arche de Saint Antoine,
(1er groupe) / ou temps libre pour les autres (visite du village pittoresque, de l’Abbatiale …)
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17h-19h : Présentation des participants et écoute de leurs attentes sur le thème de l’hospitalité.
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19h30 : repas du soir.
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20h30-21h30 : Éclairage introductif de Manoël Pénicaud sur le thème de l’hospitalité,
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Présentation du lendemain
Samedi 27 avril :
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A partir de 7h30 : Petit déjeuner.
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8h00-9h30 : Présentation historique et visite des lieux (2ème groupe) / ou temps libre pour les autres (visite du village pittoresque, de l’Abbatiale, …)
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9h30-12h00 :
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Cercle du matin
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Introduction d’un exercice de pédagogie active (= « faire » ce sur quoi nous travaillons) :
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1er temps (environ 1h) : marche méditative solitaire dans les alentours,
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2ème temps (environ 1h) : poursuite de la marche en binômes, comme une forme d’hospitalité mutuelle visant à partager nos expériences vécues ou observées d’hospitalité reçue ou donnée.
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12h45 : Repas de midi.
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9h30-12h00 :
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Cercle du matin
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Introduction d’un exercice de pédagogie active (= « faire » ce sur quoi nous travaillons) :
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1er temps (environ 1h) : marche méditative solitaire dans les alentours,
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2ème temps (environ 1h) : poursuite de la marche en binômes, comme une forme d’hospitalité mutuelle visant à partager nos expériences vécues ou observées d’hospitalité reçue ou donnée.
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12h30 : Repas de midi.
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13h30-14h : Présentation de la communauté de l’Arche et de sa vocation.
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14h00-16h15 : Atelier 1. L’hospitalité, comme accueil inconditionnel de l’étranger, est une valeur traditionnelle répandue, concrète et ponctuelle, un devoir pour chaque spiritualité, mais aussi une pratique culturelle porteuse de fluidité sociale, d’aménité dans les relations … jusqu’à un certain point et pas toujours respectée de nos jours. Temps de témoignages.
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16h45-19h00 : Atelier 2. l’hospitalité n’est pas limitée vers le haut, elle peut donc être durable, permanente, devenant une valeur spirituelle cultivée et entretenue à travers le dialogue, la rencontre, le dépassement des différences, la protection des plus faibles et des pourchassés, la non-violence, l’accueil dans les monastères, les pagodes, etc. Temps de témoignages.
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19h00 : Repas du soir
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20h30 : Soirée autour d’un film illustratif de notre thème, suivi d’un échange façon ciné-club.
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Dimanche 28 avril :
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A partir de 7h30 : Petit déjeuner
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8h45 : Cercle du matin, partage spirituel inter-convictionnel
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9h30-11h15 : Assemblée générale statutaire de CC, cette invitation tient lieu de convocation
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Rapport moral et d’activité
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Rapport financier
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Débats et votes
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Discussion sur les propositions pour cette année et les suivantes
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Renouvellement du C.A.
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Rétrospective photos de l’année écoulée
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11h30 : Cercle de parole. Parler en résonnance est une forme d’hospitalité partagée, en guise d’adieu avant de nous quitter,
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12h30 : Repas de midi
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A partir de 14h, navettes vers Saint-Marcellin
Les noms des intervenants dans les différentes phases seront diffusés ultérieurement (nous attendons encore des confirmations)
Le coût : 120 € et 60 1/2 tarif en chambre double (à priori pour les couples car il y en a peu) ou triple.
S’inscrire dés maintenant en versant un acompte de 60€ et votre adhésion 2024 : 40€ (ou 20€) pour 1/2 tarif via les infos du bulletin ci dessous
Comment rejoindre l’Arche de Saint Antoine ?
La gare la plus proches est celle de Saint-Marcellin.
Pour l’arrivée, des navettes seront organisées pour récupérer les voyageurs ferroviaires à Saint Marcellin entre 11h30 et 13h, de façon à les amener tous avant 14h à l’Arche.
Bulletin d’adhésion 2024 Compostelle-Cordoue |
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Règlement : par chèque ou virement. Banque Credit Coopératif Bénéficiaire : Compostelle Cordoue IBAN : FR76 4255 9100 0008 0272 2711 839 BIC:CCOPFRPPXXX |
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Bulletin d’inscription à retourner à Roger Berlan par courriel : ou courrier : 30 Ch. de Panegans 31170 -France |
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Sous-catégories
Chroniques
Le Liban aux « Rencontres Orient-Occident » du Château Mercier (Canton du Valais, Suisse)
L’harmonie ou la synthèse des différences
Antoine Messarra
Membre du Conseil constitutionnel, Liban
Titulaire de la Chaire Unesco d’étude comparée des religions, de la
médiation et du dialogue, USJ
Perspectives pour demain
(les noms propres entre parenthèses sont ceux des orateurs cités)
Cinq perspectives peuvent être dégagées de la 7 e année des « Rencontres Orient-Occident »
1. Du dialogue interculturel à la rencontre : Le dialogue interculturel dont l’apport est indéniable tant sur les plans conceptuels et pratiques se heurte davantage aujourd’hui à des obstacles, notamment avec les migrations forcées, les idéologies identitaires, l’instrumentalisation ou politologie de la religion, la rupture du tissu pluraliste de nombre de sociétés arabes ou risque de rupture, l’extension d’un individualisme forcené aux dépens du lien social. On ne s’enrichit désormais que par des programmes et stratégies de rencontre, c’est-à-dire d’accueil, de relation, de lien, d’échange, de convivialité.
Un essentialisme, qui frôle l’idéologie, dans les approches et perceptions des religions institutionnalisées, devient pernicieux : « Je n’ai jamais rencontré l’islam, mais des musulmans qui d’ailleurs ne sont pas toujours d’accord entre eux. Il en est de même pour les autres religions et croyances. Nous sommes presque tous des suprématistes » (Jean-François Bayard).
2. Les fondamentaux : Si l’homme d’aujourd’hui, avec la mondialisation, l’hégémonie de la technique et les mutations accélérées, se trouve en manque de repères, déboussolé, ce n’est pas seulement en raison de ces mutations, mais d’une crise des valeurs, de sources philosophiques, religieuses et spirituelles, qui assurent la cohérence au niveau du comportement personnel et l’unité d’une société. Dans des milieux universitaires aujourd’hui, sous l’influence d’une scientificité technique, on cherche des solutions techniques à des problèmes de fond. Quand on parle de patrimoine, il est à craindre aujourd’hui qu’il ne soit perçu comme nostalgie ou vestige historique d’un temps révolu ou, pire, comme traditionalisme et résistance au progrès. Il faudra revenir à ce qu’on appelait autrefois dans l’enseignement les Humanités qui constituent le socle de principes et de normes qui sont le fondement de la Déclaration universelle des droits de l’homme.
Il y a aujourd’hui, dans la recherche de l’humanisme, une pensée déracinée qui ignore, occulte ou dénigre tout l’apport des grandes philosophies, de toutes les religions, de toutes les spiritualités. La démocratie, les rapports interindividuels et sociaux, la recherche scientifique, la médecine... ne sont pas un ensemble de techniques. Aristote, Voltaire, Montesquieu, Rousseau, tout le siècle des Lumières... fondent les notions d’Etat, de démocratie et de droit. Même dans les sciences médicales, où heureusement la technologie avancée permet de détecter des maladies et de soigner, il est fort utile de ne pas occulter Hypocrate, non seulement en ce qui concerne son célèbre serment, mais son art méticuleux du diagnostic.
On résume que les « terriens », face à la crise environnementale et « plus particulièrementface à la crise climatique » seraient incités à « l’espérance d’une paix durable et d’une terre habitable ». Pourquoi faut-il cependant que moi et mes semblables soyons soucieux de sauvegarder une terre habitable ? Après moi le déluge ! On oublie que l’être humain est le seul capable de mal et même de s’autodétruire. Quelles sont donc les valeurs qui fondent l’interdépendance?
Pour montrer l’importance du socle valoriel, on offre au Père Maroun Atallah un bocal de conservation alimentaire, « symbole du Liban où on sait conserver les valeurs, surtout parce que c’est une question de survie » (Pasteur René Nyffeler).
Dans ce socle valoriel, il y a aussi le sacré dans la vie au quotidien des peuples. Les lieux saints partagés, les pélerinages, l’hospitalité interreligieuse, dans des pays pourtant dévastés par la violence, témoignent de la coexistence. Nombre de films le montre dont : Le chant des derniers Araméens (2016), Musulmans au Saint-Georges, Maison de Marie à Ephèse... (Manoêl Penicaud).
Un recensement a été effectué au Liban et un pèlerinage commun a été organisé à Obey (Mont-Liban) avec la signature par les habitants d’un pacte de vie commune. C’est aussi un panorama de la vie et l’œuvre de Goethe qui montre son orientalisme et son admiration de Mahomet, considérant que le Coran est aussi une œuvre poétique et chef-d’œuvre de l’art lyrique arabe. Goethe se met à pratiquer la calligraphie arabe et « se sent habité de familiarité avec les textes ». Dans sa tragédie, Mahomet, il dégage une figure positive à l’encontre des idées de son temps. Goethe « aspire à une foi libérée de la culpabilité et estime qu’il ne faut pas qu’il y ait une religion dominante » (Jacques Berchtold). Pour confirmer le caractère non hégémonique dans l’essence même de la foi, on cite le verset du Coran, en traduction improvisée : « Nous vous avons créés d’une même âme et fait de vous des peuples et des tribus afin que vous vous connaissiez (sic). Certes le plus noble de vous face à Allah est le plus pieux parmi vous » (Sakhr Benhassine).
C’est à cause de la perte de la boussole que nombre de problèmes sont « dénués de leur dimension politique et réduits à des généralités en vogue alors que nous sommes dans une crise qui a sa cohérence avec des retours au colonialisme » (Jean-François Bayart).
Emergence du religieux, nationalisme religieux, politologie de la religion..., autant de mutations qui ont été clarifiées et qui exigent la «transformation du regard » (Marie-Laure Sturm), sans doute en revenant à des fondamentaux qui répondent à la question : « Comment s’organisent les sociétés » (Mahmoud Ould Mohamedou). Comment « vivre, comme disait Bergson, dans un espace-temps qui s’étire, faire face aux risques de déshumanisation, face à la prise dans un tourbillon de vents contraires, l’écartèlement... Comment harmoniser l’interdépendance » (Mireille Delmas-Marty), sinon grâce à un socle valoriel ? Il y a certes un besoin de consolider l’internationalisation du droit et le rendre plus effectif, processus déjà entamé avec les grandes déclarations et conventions internationales des droits de l’homme, les jurisprudences constitutionnelles et le dialogue des juges, mais en considérant que le droit ne peut fonder seul une société, à moins de toujours le ressourcer à la manière de L’Esprit des lois de Montesquieu et pères fondateurs.
La faille réside-t-elle dans le fait que nous continuons à penser suivant des modèles anciens ? Faudra-t-il « une pensée en archipel, du tremblement, de la prévention, du risque (Mireille Delmas-Marty) ou revenir tout simplement et profondément au sens de mots usuels comme penser, réfléchir, savoir, comprendre... ? Penser au sens étymologie latin (pensare), c’est peser. Réfléchir, c’est se confronter à une réalité, comme la ré-flexion en optique. Comprendre (cum-prehendere), c’est embrasser dans un ensemble. On cite la pensée de Paul Valéry : « Il n’y a pas un art de penser, mais de repenser, de reprendre sa pensée. » C’est « l’émerveillement » (Charlotte Farhat), le « discernement, car il y a sur le chemin le juste et le mauvais, la libération du regard de ce qui l’encombre, l’immunité à l’encontre de toute autosuffisance » (Maroun Atallah). On cite la prière de Saint François : « Que je ne cherche pas à être compris, mais à comprendre » (Abbé Pierre-Yves Maillard).
3. La fécondation éducative : Toute action, tout programme, toute politique publique, pour son effectivité et sa durabilité, ont besoin de fécondation éducative. Les véhiculesintergénérationnels et éducatifs de transmission des valeurs sont-ils bloqués en dépit des chances qu’ont les générations aujourd’hui de vivre des rapports entre trois ou quatre générations ? Le Printemps arabe, qualifié de « processus de longue haleine » (Jean-François Bayard), n’a de chance de fructifier que par un renouveau éducatif.
Des rencontres avec des étudiants au Collège de la Planta montrent l’exigence à l’avenir de cette fécondation, sous forme non pas de conférences et dialogues bilatéraux entre intervenants, mais dans une perspective pédagogique d’échange et de capacitation (empowerment). C’est ainsi que « l’action s’inscrit dans la durée » (Myra Prince). Le retour à l’agriculture, préconisé par Edgar Morin, favorise « la cueillette qui est aussi recueillement et découverte de plantes pour se nourrir et d’autres pour se soigner » (Pasteur René Nyffler).
4. Comprendre enfin et gérer le pluralisme : Comment gérer la diversité religieuse ? On relève « qu’il y a de la religion partout » (Philippe Borgeaud), mais « on n’est pas dans un bocal » (Dionigi Albera). Un extrait du Discours sur la tolérance « Prière à Dieu », de Voltaire témoigne
d’une spiritualité universelle (Leili Anvar). Au cours de la « Journée libanaise » de clôture, la prière est qualifiée « d’universelle, comme le bonheur est universel » (Maroun Atallah).
Au cours de nombre d’interventions sur la gestion du pluralisme dans l’Empire ottoman (Ahmed Insel, Mahmoud Ould Mohamadou...), on soulève la problématique du pluralisme juridique et du fédéralisme territorial ou personnel, aménagements qu’il ne s’agit nullement de généraliser, ni dans la France républicaine ni ailleurs. On souligne que confessionnalisme, communautarisme, sectariasnisme... ne sont ni des notions, ni des concepts, ni des catégories juridiques. Des auteurs, depuis plus d’un demi-siècle, y fourrent tout ce qu’ils ne comprennent pas. On appelle ces aménagements aujourd’hui gestion du pluralisme religieux et culturel. Aménagements rétrogrades ? Oui rétrogrades, tout comme le Code pénal ou le Code de commerce même des années 2000, mais aménagements qui doivent être modernisés. A-t-on suivi les travaux comparatifs internationaux depuis les années 1980 sur les perspectives de modernisation des processus de fédéralisme personnel, de discrimination positive et de participation, processus qui ne sont pas hors-la-loi, mais régis par des normes. On souligne que tout système, comme en médecine, comporte ses pathologies et ses thérapies et qu’on ne peut guérir un mal que par ses remèdes.
5. Quels axes de travail et de coopération libano-suisse ? Deux axes peuvent être dégagés en vue d’une coopération d’avenir entre les associations Reconstruire ensemble-Liban et Reconstruire ensemble-Suisse, dans une perspective citoyenne et de paix : la culture de la mémoire collective et partagée, et la promotion du début public local dans les municipalités, ce qui consolide le sens de l’intérêt général et transcende les allégeances primaires.
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A la clôture des Rencontres, une participante relève : « Je sens que je ne suis plus seule. Nous sommes la génération du flambeau du Liban phare culturel » (Jinane Milelli). La coordinatrice des Rencontres déclare : « Malgré tous les malheurs du monde, il y a de grands courants d’espoir » (Marie-Laure Sturm). L’enthousiasme (enthousiasmos, transport divin) qui déborde de la 7 e année des Rencontres Orient-Occident (Abbé Pierre- Yves Maillard) est contagieux
et porteur d’avenir. Toute l’entreprise des Rencontres et de coopération avec l’association « Reconstruire ensemble-Liban » a été entamée par une rencontre : « Tout commence par une rencontre » (Charlotte Farhat).
Marcher
Documents, réflexions, contributions relatifs aux Marches
Dialoguer
Documents, réflexions, propositions en lien avec nos activités d'ouverture de dialogues
Comprendre
Documents et propositions en lien avec notre souci de mieux comprendre les situations sociales ou culturelles
pour mieux mettre en oeuvre la Charte de l'association
Rencontres annuelles
Tous les ans depuis 2011, en octobre ou novembre, l'association invite ses membres et des sympathisants à se retrouver ou se rencontrer pour deux ou trois jours de convivialité. Jusqu'en 2017, ces rencontres avaient lieu en automne et elles avaient été dites " Automnales ". Le voyage en Palestine a conduit à reporter à 2017 les Automnales 2016 et donc à abandonner cette désignation remplacée par Rencontre annuelle.. L'organisations de ces rencontres est confiée à une équipe locale, en un lieu nouveau chaque année.. C'est une occasion pour elle de mobiliser amis et connaissances, de créer des liens avec des associations locales, d'échanger des expériences, de visiter monuments ou lieux nouveaux, d'élaborer des projets, de participer à des événements locaux.
Les Automnales de 2011 à 2016
2011 - Meylan (près de Grenoble). 2012 Lyon. 2013 Paris, 2014 Toulouse, avec l'association Cieux, 2015 Leirins avec l'association Vivre ensemble à Cannes.
Les automnales 2016 ont été reportées à mars 2017 compte tenu de l'organisation du voyage en Palestine en novembre 2016.
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